MONTERREY, NL, 22 décembre (EL UNIVERSAL) – Le sous-secrétaire aux droits humains, à la population et aux migrations du ministère de l’Intérieur, Alejandro Encinas Rodríguez, a admis que la réduction de l’impunité pour les crimes tels que les meurtres et autres attaques contre les journalistes et les défenseur·e·s des droits humains continue d’être le plus grand obstacle pour surmonter la crise humanitaire et les violations des droits fondamentaux que le pays subit depuis le dernier trimestre de 2006.
Lors d’une cérémonie de signature d’un accord de coordination et de coopération qu’il a signé, au nom du gouvernement fédéral, avec le gouvernement de Nuevo León sur le mécanisme de protection des défenseur·e·s des droits humains et des journalistes, Encinas Rodríguez a souligné que tant que ceux qui commettent ce type de comportement antisocial et criminel grave ne seront pas punis, il y aura une marge de tolérance indue. Il a affirmé qu’en plus de parvenir à une plus grande coordination entre les autorités des trois niveaux de gouvernement, il est nécessaire de renforcer les capacités de réponse de toutes les institutions de l’État mexicain, “pour faire face à l’un des problèmes les plus graves auxquels nous continuons à être confrontés dans le pays : la violence, les agressions et le risque encouru par ceux qui exercent le travail journalistique et le droit de défendre les droits humains”.
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